Choisir un Véhicule

Un casse-tête devenu cornelien

Comment s’y retrouver ?

Bien mâlin celui qui pourra aujourd’hui énumérer des certitudes conduisant à un choix sans équivoque en matière de véhicule automobile.
 
Entre évolutions technologiques, modifications législatives, menaces climatiques, prises de conscience écologiques, changements d’habitudes et de comportements, autant de paramètres qui rendent l’équation complexe.
 
Une catastrophe en cache une autre
S’il est une certitude, dans ce domaine où il y en a de moins en moins, c’est très probablement la disparition progressive, du moins dans les régions dites « avancées » de la planète, du véhicule particulier à moteur thermique en pleine propriété, qu’il soit essence ou diesel.
 
Si son remplaçant, à en croire les programmations en cours de développements des infrastructures nécessaires, est selon toute attente le véhicule électrique, c’est l’assurance d’une 2ème catastrophe écologique annoncée, promue et encouragée par les décideurs du moment, publics ou privés (dans ce genre de scenario les premiers souvent bernés par les seconds), qui s’entêtent sans aucun complexe et en totale impunité à promouvoir une monstruosité aussi grosse que les systèmes administratifs, juridiques, industriels et financiers qui les soutiennent. parait être
Ce sont avant tout des offres attractives de par le montage financier habilement présenté.
 
Et pourtant, les prix sont souvent largement supérieurs aux pratiques locales.

Mais que font les artisans locaux ?

Ni équipés, ni structurés pour lancer une contre-offensive sur le net pour endiguer cette puissance de feu commerciale, ils ne peuvent bien souvent que déplorer la situation, perdant ainsi un volume d’activité plus que conséquent qui représente autant de chiffre d’affaires, prélèvements sociaux et fiscaux, emplois directs et indirects perdus pour nos territoires.

La défiscalisation des revenus locatifs

Si les deux précédents dispositifs sont facilement accessibles, celui-ci nécessite un investissement beaucoup plus conséquent puisque le « ticket d’entrée » se situe à plus de 50.000 €. Ce n’est donc pas à la portée de toutes les bourses mais il permet un rendement de l’ordre de 5%/an, garanti, avec un lot d’avantages non négligeable pour de l’investissement locatif :

  • Pas de recherche de locataires ni de bail à gérer
  • Pas de travaux d’entretien
  • Pas de contraintes de gestion
  • Pas de risque d’impayé
  • Exonération d’impôts sur les loyers perçus

De quoi redonner le sourire à certains bailleurs privés échaudés par quelques expériences malheureuses.

 
 

La baisse des prélèvements obligatoires 

Permettre au dirigeant d’entreprise ou détenteur d’un patrimoine de réduire ses prélèvements obligatoires, sociaux et fiscaux, en toute légalité, en appliquant tout simplement et scrupuleusement les textes de loi en vigueur.

C’est ce que propose une société spécialisée qui assure ce service, en lieu et place des banques et autres cabinets d’expertise comptable dont ce pourrait être le travail, si leur priorité était vraiment, comme leur communication le laisse entendre, la sauvegarde des intérêts de leurs clients . . .

 

En conclusion

Les quatre solutions présentées dans cet article peuvent permettre d’améliorer sensiblement la condition de ses proches, qu’ils soient collaborateurs salariés ou membres de la famille.

L’information connue, ce n’est qu’une question de volonté personnelle . . .

 

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